Appel à communication

Appel à communications pour les Doctoriales #2

Le 15 octobre à Paris

Résumé

Dans la continuité des Doctoriales #1, France Tiers-Lieux s’associe à Fanny Cottet (post-doctorante, Chaire Aménager le Grand Paris – LATTS) et Laure Michaud (doctorante, Laboratoire EA 2076 HABITER, Université de Reims Champagne-Ardenne) ainsi que le GT Recherche de l’Association nationale des tiers-lieux, pour l’organisation d’une journée d’étude et d’échanges sur la recherche en tiers-lieux le 15 octobre à Paris. Pour cette 2nde édition des Doctoriales, une première demi-journée sera consacrée à des communications de doctorant·e·s travaillant sur les tiers-lieux, et une seconde demi-journée organisée sous la forme d’ateliers et tables rondes thématiques pour les tiers-lieux, réseaux régionaux ou autres acteurs de l’écosystème, ayant déjà développé ou souhaitant développer une activité de recherche. Ces Doctoriales ont notamment pour objectif principal d’offrir un cadre propice à la discussion, aux échanges et aux critiques constructives de travaux de jeunes chercheur·e·s, d’accompagner et soutenir le développement d’activités de recherche au sein de tiers-lieux, de créer des synergies et de consolider cette communauté de chercheurs·e·s et de tiers-lieux.

Lien vers l’appel à communications

Introduction

Dans un contexte où les tiers-lieux deviennent des objets d’étude à part entière tout en constituant parfois des terrains d’expérimentation et de production de connaissances, cet appel propose d’interroger les liens entre recherche et tiers-lieux, les pratiques appliquées et qu’ils contribuent à faire émerger. Comment les spécificités des tiers-lieux (leur hétérogénéité, leur ancrage local, leurs pratiques collaboratives, etc) influencent-elles la construction de l’objet de recherche, la posture des chercheur·e·s, les méthodologies employées et les savoirs produits et diffusés ? Et réciproquement, il s’agira de questionner comment la recherche participe au développement et à la consolidation du modèle des tiers-lieux et de leurs actions (en matière d’insertion professionnelle, de transition écologique, d’action sociale, de coopération, de solidarités, etc) ? Comment contribue-t-elle à la compréhension, au déploiement, ou encore à la mise en perspective et la prise de distance des activités et impacts des tiers-lieux sur le territoire ?

Il s’agit dans ces doctoriales de proposer à de jeunes chercheur·e·s de présenter leurs travaux en cours ou terminés, ayant pour sujets les tiers-lieux, toute discipline scientifique et familles de tiers-lieux confondues (culturels, santé, nourriciers, coworking, fablabs, etc.)

Les axes de cet appel interrogent les différentes méthodes de recherche appliquées aux tiers-lieux (axe 1) et la production et la circulation des savoirs sur les tiers-lieux (axe 2). À noter que les communications ne doivent pas répondre à tous les éléments identifiés et soulevés dans les axes mais peuvent en prendre les différentes entrées.

Axe 1 – Les méthodes et pratiques de recherche dans les tiers-lieux

L’axe 1 interroge la diversité des méthodologies employées pour étudier les tiers-lieux, que celles-ci soient élaborées sur, dans, par ou avec eux. Il s’agit d’explorer la manière dont les chercheur·e·s construisent leurs outils et protocoles de recherche, mais aussi des méthodes de construction de l’objet, d’enquêtes, méthodes de récolte, d’analyse et de traitement des données ou encore de restitution. Les communications pourront documenter les choix méthodologiques engagés et les ajustements opérés en situation, ainsi que les enjeux éthiques que soulève la recherche sur ou dans les tiers-lieux (neutralité, légitimation, conflits d’intérêts, formes d’engagement, etc). Quelles complémentarités, quelles limites, quels apports ? Comment y répondre (en termes d’outils) tout au long du processus de recherche ? Aussi, les communications interrogeant et justifiant les choix de méthodes et protocoles d’enquête choisis seront particulièrement appréciées. En effet, plusieurs formes d’enquête sont couramment utilisées dans les tiers-lieux, notamment l’observation participante (Azam, 2015 ; Bazin, 2018 ; Gauthier et al., 2022), la participation observante (Soulé, 2007), l’immersion territoriale (Urbain, 2003), ou encore la permanence architecturale (Hallauer, 2015), etc. Les communications pourront aussi présenter des dispositifs méthodologiques plus hybrides ou exploratoires : recherches artistiques, méthodes mixtes, bibliométrie, sources documentaires, etc.

Dans cet axe, il s’agira également de questionner la co-construction de la recherche entre chercheur·e·s et acteur·ices des tiers-lieux (Lhoste, 2020), en particulier dans les contextes de recherche partenariale, participative (Bonny, 2017) ou de contrat CIFRE (Gallenga, Pesle, 2023). Ces situations posent la question des postures : que signifie mener une recherche depuis une double position/casquette acteur·ice – chercheur·e ? Quelles démarches réflexives sont engagées pour composer avec les tensions ou les attentes croisées de ces deux mondes ?  Les communications pourront analyser les effets de la recherche sur l’action, et inversement, les effets de l’action sur la recherche : formes d’implication, renouvellement des méthodes et des pratiques (Joly, 2020). Elles pourront interroger les impacts et les apports d’une recherche collaborative et potentiellement transformative (Ballon, 2023) dans et pour les tiers-lieux, à l’instar des pratiques de recherche en commun (Nicolas-Le Strat, 2024). Quelles modalités sont privilégiées pour partager les résultats avec les acteur·ices de terrain ? Quels formats sont expérimentés pour rendre les savoirs accessibles, discutables et utiles pour l’objet étudié (seriousgames, documentaires, podcasts,etc.) ? Enfin, cette réflexion sur les méthodologies ne peut ignorer la question de la « confrontation mesurée des méthodologies et des pratiques d’enquêtes » (Quet, 2014) : la confrontation entre méthodologies « traditionnelles » et plus contemporaines, voire novatrices, soulève des interrogations sur les ajustements méthodologiques en fonction du terrain, des acteur·rices et des contextes spécifiques. Enfin, cet axe accueille des réflexions issues de travaux menés dans ou avec les tiers-lieux, où la recherche devient elle-même un dispositif d’expérimentation : une recherche ancrée, impliquée en dialogue permanent avec les réalités qu’elle étudie.

Axe 2 –  Production et circulation des savoirs sur les tiers-lieux

La production et la circulation des savoirs ne sont pas neutres et s’inscrivent dans des contextes sociaux, politiques, économiques et culturels spécifiques. Lieux de savoirs, les tiers-lieux et la recherche croisent regards et expertises et ont un rôle dans cette dynamique. Le second axe interroge les dimensions épistémologiques de la recherche en tiers-lieux : quels savoirs sont produits, par qui, et dans quelles conditions ? De leur (co-)construction à leur circulation et de l’hétérogénéité des acteurs qui les produisent.

Les contributions pourront explorer les trajectoires des acteur·ices qui produisent, relaient ou traduisent ces savoirs : leurs postures, appartenances, rôles, implications et formes d’engagement. L’interdisciplinarité et l’hybridation des acteurs amènent également à questionner la « paternité des idées et des influences » (Simonneau, 2018). Entre savoirs dominants et savoirs légitimes/d’usage, comment les savoirs sont-ils produits et remis en cause ? Les premiers sont souvent issus des institutions académiques, techniques ou publiques, quand les seconds sont des connaissances d’expériences et des savoirs issus de la société civile et des acteurs de terrain, engendrant dès lors des tensions et des rapports de pouvoir qui peuvent être ici analysés. La construction des savoirs étant collective (Bourdin et Idt, 2016), qui sont les collectifs derrière leur production ? Quels choix sont faits ? Quels savoirs circulent ? Il n’est pas évident d’articuler transparence, objectivation, prise de position et pluralité dans les séquences de validation (Zask, 2004 ; Devisme et al., 2007 ; Becker et al., 2020) lors de la production de savoirs sur les tiers-lieux et la production de l’ignorance passe aussi par la sélection ou l’omission. Ainsi, qu’acceptons-nous ou refusons-nous de rendre visible dans notre propre production de savoirs ? 

Les propositions de communications pourront notamment questionner la circulation des savoirs. Certains éléments disparaissent des discours (Mullon, 2018) : de situations singulières (Leducq et al., 2018) à références, qu’elles soient catégorisées de « bonnes » ou « mauvaises » pratiques, la simplification inconsciente entraîne des représentations partielles des objets cités (ibid.) et une réduction des réalités (Devisme et al., 2007). Certaines références, mises en lumière, gagnent en reconnaissance et en notoriété (Cadiou, 2016) et deviennent des modèles. Comment interroger notre contribution, en tant que chercheur·e·s, à la dynamique et aux représentations dominantes par les références mobilisées et les modèles promus Quels impacts ont ces savoirs sur les représentations, les pratiques, les territoires, les politiques publiques (Simonneau, 2018 ; Leducq et Ananian, 2019, Liefooghe, 2020 ; 2023) ? Participent-ils d’un ajustement ou d’une transformation des cadres cognitifs et des régimes dominants (Besson, 2018 ; Richez-Battesti et al., 2024) ?

Enfin, les communications pourront également mettre en lumière la manière dont la recherche contribue à la compréhension, au développement, à la pérennisation et à la structuration des tiers-lieux et de leurs actions, tout en proposant une lecture critique de leurs activités et de leurs effets sur les dynamiques territoriales.

Formats attendus des contributions

Les doctorant·es ainsi que les masterant·es en recherche de toutes disciplines et horizons sont invité·es à partager leurs travaux en répondant et croisant les axes de recherche de cet Appel. Les communications pourront porter aussi bien sur la construction d’une problématique et/ou d’un protocole de recherche, que sur les réflexions théoriques, retours d’expériences de terrains et résultats de recherche (finaux ou à mi-parcours). Les communications en début de thèse sont les bienvenues.

Au-delà de communications conventionnelles, le comité scientifique valorisera également les travaux coécrits et coproduits avec des non-chercheur·es (en Français Facile ou non), des mises en récit et toutes productions artistiques et/ou sensibles qui s’y relieraient et qui pourront être pertinentes au regard des axes proposés.

La sélection des communication sera faite par le comité scientifique en tenant compte de la qualité et de l’intérêt des résumés, de l’intégration et prise en compte des axes développés dans l’appel ainsi que de la méthodologie développée dans la thèse. Les communications devront être calibrées pour une durée de 10 à 15 minutes.

Les propositions de contributions sont à envoyer en format WORD à l’adresse observatoire@francetierslieux.fr et doivent comprendre :

  • Les coordonnées de l’auteur·ice, le rattachement institutionnel et éventuellement l’année d’inscription en thèse,
  • Un résumé de 5 000 signes (espaces compris), (2 pages maximum sans la bibliographie)
  • 3 à 5 mots clés maximums,
  • L(es) axe(s) dans le(s)quel(s) votre proposition de communication s’inscrit,
  • Vous préciserez, notamment via la bibliographie, les principales publications et les auteurs concernés par votre proposition de contribution. Les sources de la bibliographie seront citées selon la norme de citation APA.

À noter que le texte de la communication sera attendu 3 semaines avant l’événement et à envoyer aux discutant·es.

À noter qu’une publication des contributions sous la forme d’Actes des Doctoriales est prévue à la suite de cet évènement.

Appel à posters

En parallèle de cet appel à communication, un appel à posters est lancé aux doctorant.es, masterant.es et aux binômes tiers-lieux/chercheurs dont les sujets s’inscriront dans les mêmes axes de l’appel, afin de présenter et d’exposer les travaux en cours ou finalisés sous un autre format. Les posters seront affichés lors de l’évènement et présentés à l’oral en 5 minutes.

Les propositions de posters sont soumises au même format attendu des contributions et calendrier que l’appel à communication, excepté pour le résumé passant de 5 000  à 2 500 signes (espaces compris). Vous recevrez le template du poster après notification d’acceptation de la proposition.

Calendrier

  • Date limite de soumission des résumés : 30 juin 
  • Date de notification d’acceptation ou de refus des propositions : 3ème semaine de juillet
  • Date limite d’envoi des communications (20 000 signes ou powerpoint annoté pour les discutant·es) et des posters : 26 septembre
  • Date des Doctoriales : 15-16 octobre 2025

Comité d’organisation

  • COTTET Fanny, post-doctorante, Chaire Aménager le Grand Paris – LATTS
  • GAUTHIER Cécile, docteure en géographie, chercheuse associée au Ladyss Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et chargée de mission Recherche à l’Observatoire des Tiers-Lieux à France Tiers-Lieux
  • MICHAUD Laure, doctorante en géographie et aménagement de l’espace au Laboratoire EA 2076 HABITER à l’Université de Reims Champagne-Ardenne

Comité scientifique

  • DAVAL Antoine, co-fondateur du tiers-lieu et laboratoire vivant La Vigotte Lab
  • DEFALVARD Hervé, maître de conférences HDR de sciences économiques et responsable de la Chaire d’Économie Sociale et Solidaire à l’Université Paris Est Marne la Vallée
  • DE MILL Céline, doctorante à l’Université Louis Lumière Lyon 2, au laboratoire Environnement Ville et Société, en thèse CIFRE au sein de l’agence d’architecture Encore Heureux, et référente du GT Recherche de l’Association nationale des tiers-lieux
  • LIEFOOGHE Christine, maîtresse de conférences en géographie économique, Laboratoire TVES, Université de Lille
  • MALLET Sandra, professeure des Universités à l’Institut d’Aménagement du Territoire, d’Environnement et d’Urbanisme (IATEUR), Laboratoire EA 2076 Habiter, de Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA)
  • OTTOLINI Lucile / VIÉ Alexandra, chercheuses indépendantes au sein d’HC-ECRAC et membres du GT Recherche de l’Association nationale des tiers-lieux
  • SIMONNEAU Claire, maîtresse de conférences en géographie et urbanisme à l’École d’Urbanisme de Paris, université Gustave Eiffel, UMR LATTS
  • TISSANDIER Patrice, maître de conférences en géographie à l’Université Bordeaux Montaigne, chercheur au sein du laboratoire PASSAGES
  • TURMAINE Isabelle, chargée d’analyses territoriales, Service de la coordination des stratégies de l’enseignement supérieur et de la recherche, Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche
  • ZANETTI Thomas, maître de Conférences en Aménagement de l’espace et urbanisme, Département Aménagement et Sciences des Territoires (ASTRE), Université Lyon 3 UMR EVS

Bibliographie

Azam, M., Chauvac, N., & Cloutier, L. (2015). Quand un tiers-lieu devient multiple. Chronique d’une hybridation. Recherches sociologiques et anthropologiques, 46(46‑2), 87‑104. https://doi.org/10.4000/rsa.1535

Ballon, J. (2023). Récit d’une recherche-action participative avec trois coopératives : Une démarche scientifique et transformative. Canadian Journal of Nonprofit and Social Economy Research, 14(2), Article 2. https://doi.org/10.29173/cjnser627

Bazin, H. (2018). Récit d’une recherche-action en situation. Cahiers de l’action, 5152(2‑3), 7‑17. https://doi.org/10.3917/cact.051.0007

Becker, H. S., Merllié-Young, C., & Merllié, D. (2020). Faire preuve: Des faits aux théories. la Découverte.

Besson, R. (2018). Les tiers-lieux culturels. Chronique d’un échec annoncé. L’Observatoire, 52(2), 17‑21. https://doi.org/10.3917/lobs.052.0017

Bonny, Y. (2017). Les recherches partenariales participatives : Éléments d’analyse et de typologie. In A. Gillet & D.-G. Tremblay, Les recherches partenariales et collaboratives (p. 25‑44). Presses de l’Université du Québec.

Bourdin, A., & Idt, J. (2016). Introduction. Une régulation par les modèles ? In A. Bourdin & J. Idt (Éds.), L’urbanisme des modèles: Références, benchmarking et bonnes pratiques. Éditions de l’Aube.

Cadiou, S. (2016). 1. La circulation des savoirs de l’action urbanistique. In A. Bourdin & J. Idt (Éds.), L’urbanisme des modèles: Références, benchmarking et bonnes pratiques. Éditions de l’Aube.

Devisme, L., Dumont, M., & Roy, É. (2007). Le jeu des « bonnes pratiques » dans les opérations urbaines, entre normes et fabrique locale. Espaces et sociétés, 131(4), 15‑31. https://doi.org/10.3917/esp.131.0015

Gallenga, G., & Pesle, M. (2023). La thèse Cifre en SHS: L’art de la double contrainte. Presses universitaires de Provence.

Gauthier, C., Pech, P., & Raymond, R. (2022). La dimension transitoire et d’expérimentation des tiers-lieux : Des trajectoires individuelles à l’essaimage de pratiques. Développement durable et territoires. Économie, géographie, politique, droit, sociologie, Vol. 13, n°1, Article Vol. 13, n°1. https://doi.org/10.4000/developpementdurable.20333

Hallauer, É. (2015). Habiter en construisant, construire en habitant : La « permanence architecturale », outil de développement urbain ? Métropoles, 17. http://journals.openedition.org/metropoles/5185

Joly, P.-B. (2020). Les formes multiples de la recherche : Scientifique, industrielle et citoyenne. Cahiers de l’action, 55(1), 47‑54. https://doi.org/10.3917/cact.055.0047

Leducq, D., & Ananian, P. (2019). Qu’apporte l’urbanisme à l’étude des espaces de coworking ? Revue de littérature et approche renouvelée. Revue d’Économie Régionale & Urbaine, Décembre(5), 963‑986. https://doi.org/10.3917/reru.195.0963

Leducq, D., Bourdin, A., Demazière, C., & Orillard, C. (2018). Circulation des modèles, méthodes et références en urbanisme : Pistes pour un débat. Riurba, juillet 2018(6). https://www.riurba.review/article/06-modeles/editorial-06/

Lhoste, É. (2020). Les tiers-lieux peuvent-ils ouvrir la recherche à la société civile ? Cahiers de l’action, 55(1), 13‑19. https://doi.org/10.3917/cact.055.0013

Liefooghe, C. (2020). Tiers-lieux et transition urbaine. Le pari de la co-création de valeur(s) sur les friches industrielles de Saint-Sauveur et Fives-Cail à Lille (France). CIST2020 – Population, temps, territoires, 402‑405. https://hal.science/hal-03115185

Liefooghe, C. (2023). Tiers-lieux et développement territorial : Des initiatives locales à la co-construction d’une politique nationale. Revue d’Économie Régionale & Urbaine, Décembre(5), 693‑713. https://doi.org/10.3917/reru.235.0693

Mullon, R. (2018). Les références et l’immersion circonscrite : Une approche et une méthode pour étudier la réception des modèles urbains. Riurba, juillet 2018(6). https://www.riurba.review/article/06-modeles/reception/

Nicolas-Le Strat, P. (2024). Faire recherche en commun: Chroniques d’une pratique éprouvée. Éditions du Commun.

Quet, M. (2014). La circulation des savoirs. Interdisciplinarité, concepts nomades, analogies, métaphores. Frédéric DARBELLAY (éd.), Berne, Peter Lang, 2012. Revue d’anthropologie des connaissances, 8,  1(1), 221‑224. https://doi.org/10.3917/rac.022.0221

Richez-Battesti, N., Maisonnasse, J., & Besson, R. (2024). Le tiers-lieu comme trajectoire territorialisée d’innovation sociale : Le cas d’un territoire rural. Revue d’économie régionale et urbaine, 2(2), 257‑277.

Simonneau, C. (2018). Le Community Land Trust aux États-Unis, au Kenya et en Belgique. Canaux de circulation d’un modèle alternatif et jeu d’intertextualité. Riurba, juillet 2018(6). https://www.riurba.review/article/06-modeles/community/

Soulé, B. (2007). Observation participante ou participation observante ? Usages et justifications de la notion de participation observante en sciences sociales. Recherches Qualitatives, Vol. 27(1), 127‑140.

Urbain, J.-D. (2003). Ethnologue , mais pas trop: Ethnologie de proximité, voyages secrets et autres expéditions minuscules. Payot & Rivages.

Zask, J. (2004). L’enquête sociale comme inter-objectivation. In B. Karsenti & L. Quéré (Éds.), La croyance et l’enquête: Aux sources du pragmatisme (p. 141‑163). Éditions de l’École des hautes études en sciences sociales. https://doi.org/10.4000/books.editionsehess.11206